Chant du cygne
Pourquoi faut-il que je te devine passant à mes côtés
Que tu négliges de consigner ma présence
Que tout cela me recouvre dune main mise de fer
Que ces battements de cur incontrôlables mabêtissent
Que je désavoue cet état sans men prévaloir
Perdue dans mes possibles sans échappatoire
Il est plus facile de prétendre à la ténacité quand tu nes pas
Quand je men tiens à ce que je pense et non à ce que je ressens
Quand jignore cet enlèvement qui mabstrait de moi-même
Quand je lutte à armes inégales où tu nes que moulin à vent
Quand jérafle cette attirance qui ma un jour éperonnée
Laissant derrière elle une chair choquée par trop de sensibilité
Je brigue une autre mélodie
Que je ne discerne quà mi-voix dincertitude
Même si ce chant de sirène ne me libère pas de ce joug